Petite descente des côteaux du Layon

Dans l’aventure, rien de mieux que de mêler l’utile à l’agréable. De ce fait, afin de parfaire notre technique de canoë, on est partis à la découverte d’une vallée plus connue pour son vignoble que la rivière qui coule en son centre.
Direction donc le Layon, plus précisément le petit village de Rablais-sur-Layon. Il faut dire qu’on est d’abord allé plus haut dans la vallée mais le niveau d’eau était vraiment trop bas… Ah oui, j’oubliais, le Layon est également l’ancien canal Monsieur, aménagé avant la Révolution française mais délaissé depuis.
Dès le départ, on navigue sur une eau assez sale (oui je sais, c’est souvent le cas des canaux!) mais on se sent à fond dans la nature ce qui est un de nos objectifs majeurs. Les écluses restantes sont abandonnées et nous obligent donc à des portages dans la forêt ; sans les orties, ça serait presqu’une formalité. Et là où il n’y a plus d’écluse, le niveau d’eau est plus faible, nous devons donc descendre du canoë (« Euh chérie, toi aussi tu dois descendre! »).
A mi-chemin, pause dégustation : on laisse l’embarcation sur le bord de la rivière et direction une cave du village de Chaudefond. Trois verres dans le gosier = trois bouteilles dans le canoë! De quoi repartir plein d’allant! Finalement on arrive en fin d’après-midi à la jonction avec la Loire, à Chalonnes-sur-Loire. Après un petit aller-retour à vélo pour rapprocher la voiture, on s’engage sur le plus long fleuve français et un quart d’heure plus tard, on pose notre bivouac sur une plage bordant le fleuve.

Après un bivouac magnifique, on repart assez tôt, poussés par le courant, à zigzaguer au travers des bouées vertes et rouges. Junon fait figure de proue sur notre canoë tandis que nous apprenons toujours un peu plus à le manier : pas si simple! Deux arrêts pour se ravitailler puis se baigner (et bronzer !) et on arrive à Saint-Florent-le-Vieil, étape finale de notre weekend.

Au final, une belle découverte qui nous a permis de nous perfectionner dans ce qui est pour nous un nouveau mode transport sachant qu’il nous en reste encore beaucoup à apprendre! Et comme on n’est pas allés là-bas seulement pour glisser sur l’eau, il ne me reste plus qu’à vous dire : « santé! »

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